Hélène Latulippe
Du mardi 30 novembre au samedi 5 février 2022
Vernissage le samedi 4 décembre de 14h
Inspiré par les écrits de Joan Gibbons* et de Marcel Proust, mon travail explore la mémoire et son impact sur notre conception du monde. J’en cherche les réminiscences, les façonne, j’en extrais un affect avec lequel le spectateur peut s’identifier, lui faire écho.
Répondant à mon attrait pour la matière et à mon plaisir de faire des marques, j’élabore un vocabulaire autour d’une calligraphie simple, d’une couleur en aplat et d’un processus basé sur la répétition du geste. Ainsi, l’œuvre peut se traduire en deux ou en trois dimensions, occuper le mur ou tout l’espace.
* Joan Gibbons, Contemporary Art and Memory, I. B. Tauris, 2007, p
Jean-Michel Cropsal
Du mardi 26 octobre au samedi 27 novembre 2021
Vernissage le samedi 30 octobre de 14h à 17h
Je présente pour cette exposition des estampes et collages réalisés entre 2020 et 2021.Ces oeuvres sont une tentative de dialogue entre des calligraphies anciennes et actuelles: de l’Araméen, des Hiéroglyphes, de la calligraphie Arabe et Berbère, aux appliqués Kuba du Congo. Un attachement à cette terre et aux êtres qui la peuplent. Une écriture Nomade.
Jean Michel Cropsal naît et passe son enfance au Maroc. Il étudie en France et travaille pour le théâtre: décors et costumes. Il émigre au Canada en 1975, poursuit son travail pour le théâtre et la danse, conçoit et réalise des vêtements. Durant ces années, il continue à dessiner, peindre et graver. Il expose, seul ou en groupe dans différents lieux et galeries, au Canada, au Maroc et en France. Il est membre de l’Atelier Circulaire depuis 20 ans.
Joséphine Bacon et Terry Randy Awashish
Livre d’artiste
Du mardi 12 octobre au samedi 23 octobre 2021
Lancement le mercredi 13 octobre à 17h30
Joséphine Bacon est une poétesse, parolière et réalisatrice innue, originaire de Pessamit, au Québec. Son œuvre comporte des recueils de poésie bilingues, en innu-aimun et français, publiés aux éditions Mémoire d’encrier, dont le plus récent est Uiesh/Quelque part, paru en 2018. Elle a été finaliste pour le Prix du Gouverneur général du Canada et elle a obtenu le Prix des libraires du Québec.
Atikamekw Nehirowisiw de la communauté d’Opitciwan, Terry Randy Awashish est artiste multidisciplinaire et designer graphique. Il œuvre surtout en illustration, à la conception d’affiches, d’identités visuelles ainsi qu’à tout ce qui est destiné à l’impression. En avril 2017, Terry a obtenu une première distinction en recevant le premier prix Manitou-Kiuna remit par l’Institution Kiuna ainsi que le Conseil en Éducation des Premières Nations. Puis en 2019, il a complété un baccalauréat en design graphique à l’école de design de l’UQAM.
E/AB Fair
Du lundi 18 octobre au jeudi 21 octobre 2021.
Atelier-Galerie A.Piroir a le plaisir de participer à Editions / Artists' Books Fair en ligne seulement.
IFPDA Fine art print fair
Du vendredi 15 octobre au dimanche 31 novembre 2021.
Nous sommes heureux de participer à la IFPDA Fine Art Print Fair, un événement exclusif en ligne. Lien de notre kiosque sera disponible sous peu.
Volume 4 MTL
Du samedi 2 et dimanche 3 Octobre 2021
Atelier-Galerie A.Piroir a le plaisir de participer à Volume 2 MTL.
Marcelo Troche
Du mardi 7 septembre au samedi 9 octobre 2021
Flor de piel
Photogravures mises en mots par Émilio Troche
Images et mots sur la fragilité. Celle qui a teinté les mois passés en confinement, loin de tout et de rien, seul avec soi-même, loin des personnes aimées.
Les poèmes sont une ode à la fragilité de l’âme, au désespoir face à un monde en détresse. Un regard intimiste troublant totalement craché à la face de l'univers.
La technique de reproduction utilisée, soit la photogravure traditionnelle, donne un autre sens aux images, d'emblée douces et vulnérables. Comme si celles-ci, transférées avec force, presque violence, face première écrasée contre le papier, nous transportent de la douleur à la douceur, comme un long frisson sans fin, l'âme à fleur de peau.
…………
Né à Montevideo (Uruguay) en 1971, Marcelo a vécu à Madrid et à Grenoble avant que sa famille s’installe à Montréal (Canada). Il passe maintenant son temps entre Montréal et Mérida, au Yucatan au Mexique, où il possède son propre sanctuaire de photographie.
Après avoir obtenu son diplôme en photographie au Cégep du Vieux Montréal, il a été recruté par l'un des meilleurs laboratoires de photographie noir et blanc, où il a développé un grand intérêt pour la photographie en noir et blanc et les techniques de laboratoire. Sa créativité et son talent l'ont amené à explorer la photographie publicitaire et éditoriale, passant du film à la photographie numérique, sans toutefois perdre sa passion pour le développement photographique en laboratoire et la photographie en noir et blanc.
En 2015, Marcelo va étudié à New York le « Tintype » et commence à maîtriser la technique tout en poursuivant sa carrière dans la publicité.
Il y a deux ans, en 2017, une vascularite cérébrale a brutalement frappé Marcelo. Après une longue hospitalisation, de nombreuses tentatives de traitement et une longue convalescence, il dut faire le deuil de sa carrière professionnelle. Mais cela a fait que Marcelo a décidé se consacrer à ce qu’il aime vraiment dans la photographie: le « tintype ». Il a trouvé dans cette technique un moyen de célébrer la beauté de ce qui semble repousser à première vue.
Mel Boyaner en collaboration avec la BIECTR
Du mardi 10 août au vendredi 3 septembre 2021
Mel Boyaner, (1924/ 2020) a étudié à Montréal et à Londres à la Regent Street Polytechnic School of Art dont il a reçu une bourse pour la lithographie. Après avoir enseigné à Londres pendant quelques années, il fut invité en 1969 à enseigner à l’UQAM où il demeura jusque qu’à sa retraite pour son plus grand bonheur. Il fut l’un des membres fondateurs de l’Atelier circulaire. Le public a pu apprécier ses œuvres lors de nombreuses expositions solos et collectives. Il resta enthousiaste face à la création et au monde des arts jusqu’à la fin! Plusieurs collègues, étudiants et amis se souviennent de sa joie de vivre, de son sourire communicatif et de son ouverture aux autres!
Jo Ann Lanneville
Du mardi 1er juin au samedi 10 juillet 2021
Jo Ann Lanneville a fait de nombreux voyages, a vu de nombreux de paysages. Elle ferme les yeux pour mieux les revoir. Elle les brasse, les mélange, les combine, les recrée, les confie enfin à la toile, au papier. Elle s’invente un Jardin d’Éden qu’elle nous invite à explorer. Les planches illustrées d’une encyclopédie botanique fantastique s’offrent à nous. Des formes à la fois insolites et familières en surgissent. Elles s’installent dans l’espace, nous entourent, nous émeuvent, nous déséquilibrent d’abord, nous apaisent ensuite. Nous sommes en confiance. Nous déambulons dans un monde végétal onirique, magique, excentrique. Nous reconnaissons sans les connaitre les fleurs, les arbres, les fruits que Jo Ann a imaginés. Fleurs géantes se balançant dans le vent, libérant un pollen d’âmes multicolores; arbres s’embrasant soudain, brûlant nos désirs en rougeoyant; fruits voyageant de constellation en orage.
Avec cette exposition, Jo Ann nous dévoile une série d’estampes aux images-paysages plus intimes, plus fragiles, aux allures d’herbier d’autrefois, révélant avec minutie les détails d’un monde vibrant, excitant, issu d’impressions glanées au fil de ses voyages plus ou moins lointains. Brindilles, pétales, pistils, herbes folles, roches, astres. Inventaire d’une nature à la fois réconfortante et rebelle, tenace et délicate, furtive et éternelle. Images mentales dérivées de réalités vécues intensément par une artiste sensible et généreuse qui, enfin, nous propose de traverser le miroir pour nous plonger dans notre propre monde et d’y apposer nos propres couleurs.
Alan Speller, Historien de l’art
Erika Adams, Isabelle Fleurelien et Stephanie Russ
Du mardi 13 avril au samedi 22 mai 2021
Les artistes Erika Adams, Isabelle Fleurelien et Stephanie Russ explorent visuellement des concepts liés au fleuve Saint-Laurent à Montréal. Leur recherche met en évidence les liens personnels et le désir d’un naturaliste de comprendre en tenant compte des impacts environnementaux dus au changement climatique. Les œuvres imprimées en techniques mixtes, les livres d'artiste, la vidéo et les blocs de bois découpés au laser explorent la rivière sous leurs différents angles.
IFPDA Fine art print fair
Du vendredi 14 mai au vendredi 28 mai 2021
Nous sommes heureux de participer à la IFPDA Fine Art Print Fair, un événement exclusif en ligne. Lien de notre kiosque sera disponible sous peu.
ARLIS/NA
Du mardi 11 mai au jeudi 13 mai 2021.
Atelier-Galerie A. Piroir a le plaisir de participer à la conférence annuelle de la Société des bibliothèques d'art d'Amérique du Nord (ARLIS/NA) à Montréal qui se tiendra seulement en ligne.
ROLANDE PELLETIER
Du mardi 2 mars au samedi 3 avril 2021
Diplômée de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris, France en 1972 et de l’Institut des Arts appliqués de Montréal, en 1967, Rolande Pelletier a enseigné les arts visuels pendant plus de 30 ans dans les Cegep tout en continuant à peindre, dessiner, faire de la gravure et exposer à chaque fois que cela était possible. Elle a quitté l’enseignement en 2005. Depuis elle se consacre à temps plein à la pratique de l’art. Membre active de l’atelier Circulaire depuis 2006, elle y a intensifié ses recherches avec le bois gravé et d’autres techniques de l’estampe.
Dans son travail elle s’intéresse en particulier aux éléments du langage visuel et les innombrables possibilités qu’ils offrent. Un questionnement sur les processus d’élaboration des œuvres en particuliers la répétition que ce soit répétition du geste ou de formes dans une même œuvre ou d’une œuvre à l’autre nourrit son travail.
Ces œuvres font partie de collections privées au Canada et en France. Dans les collections publiques, ces gravures ont été acquises par la ville de Montréal ; la Banque Nationale du Canada ; le Kyoto International Woodprint Association, Kiwa , Japon ; Banque d’œuvre d’art du Canada ; Bibliothèque Nationale du Canada, et Bibliothèque Nationale du Québec. Par le biais de livres d’artistes collectifs, ces estampes sont au Musée Laurier, Victoriaville ; Musée de Baie Saint- Paul ; Musée de Saint Jérôme.
En solo elle présente son travail depuis 1984. Récemment elle a exposé à la Galerie des membres de l’Atelier Circulaire, local 517, en 2018 ; à la Galerie Circulaire, local 105, en 2016 ; au Musée d’art contemporain de Baie Saint-Paul en 2014 ; à la Maison de la Culture Rosemont- la-Petite-Patrie en 2013 ; au Centre d’exposition de Repentigny en 2012 ; au Carrefour culturel Paul Médéric, Baie Saint-Paul en 2010 ; à la Galerie des membres de l’Atelier Circulaire en 2009, etc.
En groupe, elle a participé à un très grand nombre d’expositions en peinture, dessin et gravure depuis le début des années 70. Les plus récentes sont : Hommage à Katia Makdisi Warren, Maison de la culture Ahuntsic et musée de l’Oratoire, 2019-2020; Changement comme seule certitude, Atelier-galerie Alain Piroir, 2019 ;Triennale de gravure en taille-douce de Lisle sur Tarn, Fr, 2018; Exposition Divers Cité, au Musée des maître et artisans du Québec, Mtl, 2018; 70/70 dans les trace de Dumoucuel, 2018, Québec; Exposition hommage à José Évangéliste, Maison de la culture Côte des Neiges, Mtl, 2018; BIMPE X, 2018-19, présentée dans quatre lieux différents en B.C et Alberta.
Yannick De Serre
Du mardi 3 novembre au samedi 19 décembre 2020
Vernissage du samedi 7 au dimanche 8 novembre de 14h à 18h
Proserpina
Dès l’aube des temps, les mythologies ont façonné notre monde avec des récits collectifs fondateurs. Parmi ces histoires fabuleuses, Yannick De Serre choisit de réinvestir le mythe de Perséphone/Proserpine, parce que celui-ci explique dans une forme mytho-poétique l’origine des saisons tout en plaçant la relation mère-fille au cœur d’une équation complexe. Avec l’exposition Proserpina, l’artiste met en scène des œuvres à la fois subtiles et puissantes, dont la narration superpose sans cesse le paradoxe de l’absence et de la présence.
Qu’est-il arrivé à Perséphone/Proserpine ? Fille unique de Déméter/Cérès, déesse de la moisson et du blé, Perséphone fut enlevé par son oncle Hadès/Pluton, roi du royaume souterrain, qui en fit son épouse. Tandis que la jeune femme se trouvait prisonnière, sa mère poursuivit une quête incessante pour la retrouver. Pendant les neuf jours marquant cette recherche, Déméter cessa ses activités, ce qui ralentit dangereusement le cycle de la nature. Pour éviter de mettre en péril l’humanité, Zeus demanda à Hadès de relâcher sa femme. Celui-ci consentit tout en sachant que son épouse, ayant mangé des pépins de grenade, n’aurait d’autres choix que de retourner en enfer. Lorsque la jeune femme retrouva sa mère, le renouveau et la joie s’installèrent, marquant l’avènement du printemps, puis de l’été. Chaque séparation introduisait l’arrivée de l’automne, suivi de l’hiver. Ainsi, un va-et-vient s’installa entre le monde souterrain et le mode terrestre, marquant le passage des saisons, accompagné inévitablement de son lot de déchirements incessants et de tristesse.
C’est avec beaucoup de délicatesse que Yannick De Serre traduit la souffrance de la séparation, notamment dans les œuvres Relation ou je n’étais qu’un enfant et Maman. Pour concevoir la première, plusieurs lettres provenant d’une correspondance personnelle ont été utilisées. Plongées dans l’eau, ces lettres se sont ramollies, puis désagrégées. Les mots se sont effacés, laissant la matière originale – essence des choses – se révéler dans un blanc immaculé. Après une période de séchage et de compression, le papier a tout de même conservé la vulnérabilité de la matière, comme en témoigne d’ailleurs l’inscription FRAGILE incisée au centre de l’œuvre qui fait aussi écho à la fragilité du lien. Plus loin, « Tu me manques », peut-on lire dans le livre ouvert intitulé Maman, suggérant aussi le poids de l’éloignement. Retenir l’autre, le laisser échapper, puis le perdre… c’est que donne à voir Proserpina 2, Bouquet 2 et Bouquet 17. Des mains dessinées au graphite tiennent entre leurs doigts des bouquets de fleurs embossées dans le papier. L’empreinte laissée dans l’épiderme fibreux conserve la trace d’un recommencement doux-amer : l’absence succède à la présence, et inversement. Avec Bouquet 9, un autre type de cycle se décline : une fleur qui jaillit d’un sol noir, mais fertile s’épanouit, puis fane jusqu’à retourner à la terre. De la vie à la mort. De la mort à la vie. N’est-ce pas ce que ravive l’un des poèmes de la série Sans titre ? « Perséphone / Perce et flore/ Perte à mort ». Tiraillée entre le père et la mère, la question du lien invite celle des origines dans un autre poème tiré de la série Sans titre « Mother /I came to you/ je sème/je cueille/j’abonde/Et je quitte/Father/I failed you ». Les linéaments qui composent le lien entre le père et la mère dessinent aussi le rhizome racinaire rejoignant le monde souterrain au monde sur terre.Tandis que la fragilité apparente de certaines racines ébranle, la solidité incontestable d’autres fascine. Entre force et vulnérabilité, les liens inéluctables qui façonnent l’individu et construisent le collectif sont en constante mouvance. Ainsi va le cycle de la vie !
Émilie Granjon
Historienne de l’art.
E/AB Fair
Du jeudi 14 octobre au dimanche 28 octobre 2020
Atelier-Galerie A.Piroir a le plaisir de participer à Editions / Artists' Books Fair en ligne seulement. Lien de notre kiosque sera disponible sous peu.
IFPDA Fine art print fair
Du mercredi 7 octobre au vendredi 6 novembre 2020
Nous sommes heureux de participer à la IFPDA Fine Art Print Fair, un événement exclusif en ligne. Lien de notre kiosque sera disponible sous peu.
Volume 3
Du samedi 3 octobre 2020
Atelier-Galerie A.Piroir a le plaisir de participer à Volume 3 MTL en ligne seulement.
Les journées de la culture
Du 25 septembre au 25 octobre 2020
L’Atelier-Galerie A.Piroir est un espace de travail et d’exposition dédié à l’art imprimé. Les présentations, démonstrations et ateliers d’expérimentation seront faits par les maîtres imprimeur Alain et Agathe Piroir. Nous commencerons par établir quelques repères historiques de l’estampe en présentant nos différentes presses ainsi que les différentes techniques qui s’y rattachent : gravure en creux, typographie, bois, lithographie. Ensuite, nous allons vous faire une démonstration de ces techniques. Vous pourrez mettre la main à la pâte en participant à un petit atelier.
Nous vous demandons de réserver à l’avance de votre venue, notre papier 100% coton dois être mouillé 24h à l’avance.
Amalia De Lorenzi - BIECTR
Du mardi 8 septembre au samedi 24 octobre 2020
Vernissage samedi 12 et dimanche 13 septembre de 14h à 18h
EN PRÉSENCE DE LA DÉLÉGUÉE GÉNÉRALE WALLONIE-BRUXELLES AU QUÉBEC, MADAME SHARON WEINBLUM, LE SAMEDI 12 SEPTEMBRE.
LE VIN D’HONNEUR EST UNE GRACIEUSETÉ DE LA DÉLÉGATION DU QUÉBEC WALLONIE-BRUXELLES.
PRIX de L’Atelier-galerie a. Piroir
Dans le cadre du partenariat avec la Biennale internationale d’estampe contemporaine de Trois-Rivières (BIECTR), l’Atelier-Galerie A. Piroir a l’honneur d’accueillir l’artiste belge Amalia De Lorenzi pour une exposition solo.
On vient rarement à l’univers de l’image imprimée sans avoir eu un premier parcours nourrit à d’autres approches artistiques.
Après mes années académiques en atelier textile/décoration à Bruxelles 1986 – 1990 (suivi d’une bourse d’un an au Centre de la Tapisserie, des Arts muraux et des Arts du tissu (TAMAT) de Tournai, j’ai travaillé principalement ce médium durant presque dix ans.
Une expérience de 2 ans au travail de la terre m’a permis de percevoir encore mieux mon attrait pour la relation au volume (intérêt et développement que j’ai eu dès le début dans mon travail textile).
C’est au début des années 2000, lors d’un workshop de découverte de la gravure que je retrouve l’attrait et l’envie de réintégrer l’image (abandonnée depuis longtemps) dans mon langage artistique.
Cet univers de l’impression m’offrait non seulement le plaisir de la manipulation de la matière, mais également un processus de recherches et de création assez long. Deux paramètres importants pour moi.
De 2002 à 2009 je me forme aux techniques de l’estampe aux Beaux-Arts de Liège. En 2004 j’intègre le collectif de graveurs Impression(S) avec lequel de nombreuses expositions sont organisées.
Outre mon travail personnel, je partage également ma passion en atelier auprès d’adultes et d’enfants.
IFPDA Fine art print fair
Du mercredi 13 mai au samedi 13 juin 2020
Nous sommes heureux de participer à la IFPDA Fine Art Print Fair --- un événement exclusif en ligne en partenariat avec Artsy. Vous y trouverez notre kiosque. Voici ci-joint le lien VIP.